Voyage à venir: Hong Kong, Macao, Singapour
Fin septembre 2018, si les vents restent favorables, je profiterai d’une boucle en Asie pour réaliser mon rêve de cinéphile: photographier Hong Kong.
Ma vision de Hong Kong a été façonnée par les photos noir et blanc de Fan Ho, les films de Wong Kar Wai et les polars HK .
Je rêve de photographier Hong Kong à leur manière et c’est vraisemblablement une illusion. Il est clair que le temps des jungles de néons décrépies, étouffées par la brume et la poussière est terminé. Le verre et l’acier ont tout remplacé.
C’est un autre style de photographie et je devrai m’ajuster.
A moins que je parvienne à dénicher les derniers bastions d’un temps oublié. Si vous connaissez des coins photogéniques de Hong Kong, Macao et Singapour où le temps s’est arrêté avant 1990, je suis preneur.
Photographier Victoria Harbour
A Hong Kong, impossible de ne pas photographier Victoria Harbour, la vue la plus célèbre de la ville. Même quand vous n’essayez pas, vous la retrouvez sur les trois quarts de vos images, quelque part dans le fond.
Une histoire de trois villes
Hong-Kong, Singapour, Macao: trois expériences très intenses, même si très différentes. Avant de tirer les enseignements de ces 16 jours de voyage, voici une petite introduction sur ces trois villes incroyables.
Les Highlands sous la pluie
Photographier les Highlands battus par la pluie et le vent et avec un oeil en moins, ce n’est pas forcément évident.
À Hong Kong, vous aurez une vue déjà assez magnifique sur The Peak, accessible par un simple funiculaire touristique. C’est peut-être une évidence, mais je ne m’attendais pas à ce que certains clichés de HK soient aussi… à portée de main. A contrario, il suffit de redescendre au niveau du sol pour prendre en photo des forêts de gratte-ciels en contreplongée. Pour l’architecture typique des lieux, peut-être voir du côté de la Chungking Mansion (photos probablement pas très appréciées en intérieur) – je ne suis pas sûre de mon coup car on s’y était retrouvés par hasard et on a vite détalé après vu ce qui s’y passait, mais certains guides le conseillent en auberge de jeunesse !
>Il est clair que le temps des jungles de néons décrépies, étouffées par la brume et la poussière est terminé.
Non, pas vraiment, il y a encore des centres commerciaux bien miteux qui seraient peut-être du plus bel effet en photo, mais par contre, je n’imagine pas les commerçants accepter d’être photographiés dans ces conditions.
Tu devrais pouvoir trouver des idées de spots dans certains articles de presse consacrés à l’architecture verticale du Port parfumé =)
Merci pour les conseils! On va passer tout ça en revue 🙂